Jean Paul Cedy à été nommé ministre de l’enseignement pré-universitaire et de l’Alphabétisation dans le gouvernement Bah Oury. Il remplace Guillaume Hawing finalement pas reconduit à son poste.
Réagissant à la nomination de Jean Paul Cedy, Aboubacar Soumah, secrétaire général du SLECG a indiqué n’avoir pas connu le promu dans le passé.
« Le ministre qui est nommé, je ne le connais pas ; je ne l’ai pas pratiqué. On n’a jamais administrativement travaillé ensemble. Je ne sais pas quel est son niveau de compréhension des dossiers de l’éducation ; celui qui l’a choisi c’est celui-là qui peut savoir pourquoi il l’a choisi », a déclaré Aboubacar Soumah.
Poursuivant, Aboubacar Soumah a exprimé ses attentes et celles des acteurs du système éducatif à l’endroit du nouveau ministre : « pour le moment en tant que acteurs sociaux de l’éducation nous attendons les premières semaines, les décisions qu’il va prendre par rapport à tout cela, nous allons l’évaluer. Pour le moment, je ne peux pas dire qu’il peut tenir ou qu’il ne peut pas tenir. C’est lorsqu’il va prendre des décisions allant dans le sens de la qualification de l’éducation, c’est ce que nous recherchons (…) L’essentiel est qu’il prenne des décisions pédagogiques, administratives et qu’il fasse en sorte que les infrastructures qui n’existent pas à l’éducation soient effectives. En ce moment on ne pourra le juger qu’à travers ce qu’il aura fait », a martelé le secrétaire général du SLECG.
Bangaly Soumah