Ousmane Gaoual, Cherif Bah, Abdoulaye Bah et Cellou Baldé, viennent de bénéficier de semi-liberté sous contrôle judiciaire, mais pas Etienne Soropogui, pourtant incarcéré au même moment avec les cadres de l’UFDG du côté de la maison centrale de coronthie.
Selon une source proche du pool des avocats des détenus ; Etienne Soropogui n’a pas bénéficié de liberté provisoire car primo, son état de santé n’est pas si critique au point qu’on lui accorde la liberté conditionnelle contrairement aux cadres de l’UDFG, dont la plupart avaient longtemps séjournés dans les structures sanitaires pour des examens et soins intensitifs.
Secondo, on apprend que, le pouvoir en veut à Etienne Soropogui, ancien commissaire de la CENI, d’avoir manipulé les résultats de la présidentielle déclarant Cellou Dalein Diallo vainqueur du scrutin avec plus de 50% des suffrages. On connait la suite, dés après la diffusion des résultats suivi de l’auto proclamation de Dalein, les violences ont commencé dans plusieurs endroits de la capitale entrainant des morts, des blessés et destruction de biens publics et privés.
L’un dans l’autre, de nombreux observateurs estiment que la justice devrait accordé la liberté sous surveillance au président du mouvement ‘’Nos Valeurs Communes’’, au même titre que les Ousmane Gaoual et cie.
Bhoye Diallo